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Le Délire D'Hibari
29 avril 2015

Une journée inoubliable (non censuré)

Je m'appelle Enzo j'ai 20 ans et comme très peu de jeune de mon âge en ces années 2010 je suis encore puceau. J'ai tout essayez mais rien n'y fait. Un jour un ami m'a même emmené dans une maison close. Tout était parfait, j'étais excité, la fille comme dans les magazines playboy mais au dernier moment j'ai détalé comme un lapin, ma raison n'était pas d'accord. Je crois qu'il faut que j'attende la femme qui saura me mettre à l'aise et canalisé mon excitation. En attendant, je supprime mon historique tous les soirs et cache mes magazines sous mon lit.

 

Nous sommes le 18 juin 2014, c'est un très beau mercredi le soleil brille dans le ciel et moi j'attends sagement le bus, appuyé contre l'arrêt parce qu'une mamie et un couple qui s'embrasse à se couper le souffle sont assis sur le banc. Le bus arrive en retard comme tous les jours et je monte dedans, cherchant une place j'en trouve une au fond.

Quelques arrêts plus loin je sentis une présence s’asseoir en face de moi, je relevais donc la tête me disant que c’était sûrement encore une de ces petites vieilles qui s'assoient en face ou à côté de vous alors que plein d'autre place son libre. Mon cœur dut rater quelques battements, c'était une très jolie jeune fille brune, portant une mini jupe noir et un décolleté laissant apercevoir deux arguments de taille. Je remontais mon regard sur son visage et lui souris timidement, elle avait des yeux marrons et les rayons du soleil laissaient apparaître quelques reflets dorés. Elle posa son regard dans le miens et je sentis un frisson me parcourir l'échine et, je détournais les yeux. Je me mis à regarder la route défiler. On avait dépassé au moins cinq arrêts quand je décidais de regarder une deuxième fois, deux jambes serrés, fines étalées devant moi au bout deux escarpins de la même couleur que sont tee-shirt me faisait de l’œil. Je sentis son regard sur moi et ses jambes bougèrent quand je relevais la tête, elle s'était assis à côté de moi, son visage s'approcha de mon oreille et son souffle chaud glissa le long de mon cou. Une voix cristalline et douce me chuchota quelque chose à l'oreille que j'eus du mal à comprendre.

Le bus s'arrêta et elle m'entraîna vers la sortie, j'avais complètement oublié ce que j'étais censé faire normalement et, je la suivis. Sa main s'était calé dans la mienne et ne la lâchait plus. On s'arrêta enfin elle me lâcha la main et s'assit sur un banc, je regardais autour de moi, je n'avais aucune idée d'où j'étais.

-Assis-toi...

Je fis ce qu'elle me demandait comme un chien bien docile.

-On est où ? Eus-je l'audace de demander

-À Guéret c'est à 10 minutes du centre t'inquiète pas

Sa main se posa sur la mienne et je lui lança un regard.

-Pourquoi tu m'as emmené ici ?

-J'en avais marre que tu me regarde aussi peu discrètement alors je t'ai embarqué ici pour que mes potes te casse la gueule...

Je retirais ma main et me relevais, elle se mit alors à rire.

-Je rigole... T'es mignon, je sais pas vraiment pourquoi, c'est une pulsion. Je m'appelle Claudia au faite !

-Moi Enzo

Je jeta un coup d’œil à mon reflet dans la vitre d'un panneau publicitaire, moi mignon ? J'étais banal, j'avais les cheveux courts et brun, des yeux bleus, aucun signe de virilité apparent, mon style était basique et les quelques abdos que je travaillais ne se remarquaient pas sous mon tee-shirt. J'avais un peu rougis à sa remarque, quand je la regardais à nouveau elle s'était levée.

-Tu veux peut-être faire ce que t'étais censé faire ?

-Euh... à vrai dire je sais même plus ce que j'étais partis faire ça devait pas être si important

-Je t'ai autant troublé que ça ?

-Faut croire... C'est la première fois que je croise une femme aussi belle

Enfin c'est ce que j'ai cru dire, elle s'approcha de moi et me pris le bras.

-Vu que tu te souviens plus de ce que tu devais faire sa te dirais d'aller faire un tour Enzo ?

Elle prononça mon prénom d'une manière si particulière que j'eus du mal à répondre.

-Euh... Bah oui

Elle m'entraîna jusqu'à l'arrêt ou on était descendu, le bus arriva trois secondes après. On monta et on s'assit la ou il y avait de la place. Quelques regards se tournèrent vers moi sûrement pour essayer de comprendre pourquoi une si jolie jeune femme m'accompagnait. Alors que plus loin un homme la dévisageait avec sûrement le même regard que moi plutôt, elle glissa sa main dans la mienne et me glissa quelque chose dans l'oreille. Je tournais la tête pour lui demander de répéter quand je sentis quelques choses de doux, chaud et sucré sur mes lèvres.

Elle venait de m'embrasser, je me sentis rougir et tout mon corps en demandait encore.

-J'en avais marre qu'il me dévisage. Me chuchota-t-elle.

Je ne trouva rien à répondre de mieux que :

-C'est notre arrêt je crois.

Cette fois c'est moi qui l'entraîna hors du bus, jusqu'à une adresse connu, un bar.

-Je te paye un verre ? Lui demandais-je

-Avec plaisir !

Elle sourit et je compris pourquoi tout le monde se retournaient sur son passage. Elle était tout ce qu'un homme peut rechercher. Quoiqu'un peut directe et brusque mais c'était assez... plaisant. Je lui paya un verre qu'on sirota gentiment en terrasse, je ne pouvais retenir mes pulsions d'homme et, donc de regarder sa poitrine quand elle regardait ailleurs. Quand je releva les yeux une énième fois, je la vis sourire, je rougis et bafouilla quelques excuses.

-Tu veux que je te mette la tête dedans ?

-Hein ? Nan, Nan !

-Détend toi je rigole

-T'as quand même un drôle d'humour...

On parla encore pendant au moins une heure avant que son téléphone sonne, elle décrocha et partis plus loin. Quand elle revint vers moi son ton était plus grave.

-Enzo je suis désolé je dois y aller, c'était mon père, je lui ai dis que j'arrivais y'a un peu plus d'une heure alors...

-T'inquiète pas c'est pas grave faut que je rentre aussi de toute façon

-Merci...

Je me leva laissant l'argent sur la table avec les verres vides, et la suivis jusqu'à l'arrêt. On monta ensemble dans le bus. On parla très peu, son arrêt arriva bien trop tôt à mon goût, je la regarda descendre puis réagis, j'avais oublié de lui demander son numéro. Je me dépêcha de sortir du bus, passant à travers les portes avant qu'elle ne se referme et la rattrapa.

-Hey ! Claudia !

-Oui ?

-J'ai oublié de te demandais un truc...

-Laisse-moi deviner... Tu veux mon numéro ?

-Euh... O...

J'allais répondre oui quand elle m'embrassa pour la seconde fois de la journée, prenant en même temps mon portable dans ma poche y tapa son numéro sur le clavier et me le tendis, elle fila alors en disant seulement.

-Ton bus arrive dépêche toi.

Sur le trajet j’enregistrai son numéro et lui envoya un message qui disait simplement que c'était moi et que j'avais été ravis de la rencontrer. Elle me répondit quand j'arrivais chez moi, je souriais tout seul.

-T'as l'air con comme ça ! Me dit mon petit frère en guise de salut.

Je monta dans ma chambre et me laissa tomber sur mon lit avant de lui répondre.

-« On se revoit quand ? »

-« Quand tu veux... »

-« Demain ? »

-« Avec plaisir ! »

-Hey ! Ducon ! À table !!

C'était mon frère avec ses 17 ans il se croyait tout permis, beaucoup de gens disaient qu'on se ressemblaient. Je ne voyais pas vraiment où, il était blond, taillé comme un joueur de football américain. Il faisait à peu prêt la même taille que moi et ses yeux étaient d'un bleu ou on pouvait se noyait. Et beaucoup de personne le préféré à moi, même mes parents. Je descendis manger, la table était silencieuse pour une fois que nos parents étaient chez nous, il faut dire que c'était rare. Mon père était un ancien militaire reconvertit en avocat international et ma mère une femme d'affaire au planning surchargée. Ils auraient voulu que je poursuive mes études pour devenir avocat ou même médecin mais j'avais abandonné après le lycée alors que mon frère lui voulait devenir celui qui vaincrait le sida ou le cancer. Je trouvais cette idée totalement infantile mais je le laissais rêver.

 

Plusieurs semaines passèrent et je voyais Claudia de plus en plus souvent, on se retrouvait dans le bus ou en ville, elle m'embrassait dès que l'occasion se présentait et je ne la repoussait pas. Elle avait 19 ans et était de plus en plus belle, elle portait des tenues plus ou moins affriolante chaque jour. Plus je la voyais et plus mon cœur s'emballait.

 

On était le 4 juillet 2014 et, mes parents étaient encore partis dans d'autre pays, j'étais seul avec mon frère. La journée était passé vite et je n'avais pas vu Claudia aujourd'hui, je décidais donc de l'appeler.

« Allo ?

-Hey Claudia c'est Enzo !

-Ah ! Ça va ?

-Toujours et ... »

Je fus coupé pars mon frère qui rentra dans ma chambre, il se dirigea vers mon armoire, ouvrit un tiroir et fouilla.

-Tu fais quoi ?

-Je t'emprunte ça tu en as pas besoin je pense ! Dit-il en sortant une boite pleine de préservatif.

-Euh...

-Tiens t'es au tel avec Hilda la sadique du téléphone rose ! Dis lui bonjour de ma part !! Ah ma copine devrait pas tarder ça te dérange pas si elle crie trop fort ?

Il sortit de la chambre en riant alors que je lui balançais mon coussin en pleine tête. Je voulu reprendre la conversation avec Claudia mais elle avait raccrochée.

 

Quelques minutes plus tard, la sonnette retentit sûrement la copine de mon frère qui arrivait, je l'entendis dévaler l'escalier et ouvrir la porte. Puis un silence insoutenable et enfin un cri.

-ENZOOOOOOO !!!! C'est pour toi !!!

Je fus abasourdi, quelqu'un pour moi ? Ça devait être une erreur. Je descendis et en arrivant devant ma porte je fus choqué. Elle était la, alors qu'il y a quelques minutes à peine elle m'avait raccrochée au nez. Elle entra et déposa ses lèvres sur les miennes sous les yeux abasourdis de mon frère. Elle passa ses bras autour de moi et me fis pars de ses intentions en entrouvrant les lèvres, je glissa ma langue dans ce première espace chaud et humide à la fois. J'entendis alors une voix stridente.

-Aleeex !!!

C'était la copine de mon stupide frère qui arrivait, je m'écartais de Claudia.

-Bon bah amuse toi bien p'tit frère !

Il était encore choqué et regardait Claudia bouche bée. J'entraînai ma belle brune vers ma chambre.

-Tu sais que je t'aime toi ! Lui dis-je.

-Oui ça l'a remit à sa place ton frère !

Je rentrai dans ma chambre et en refermant la porte derrière moi, une fois retourné mes yeux se posèrent sur elle.

-Non sérieusement...

-Quoi ? Dit-elle le sourire aux lèvres.

-Je t'aime

-Hm... Moi aussi je crois

Je la regardais sûrement avec un drôle d'air car elle déposa un baiser sur le coin de mes lèvres et échappa un petit rire. J'allai m’asseoir sur mon lit et l'invita à faire de même.

-Mon pauvre Enzo tu prends tout au premier degré

-En même temps ton humour est décalé !

Elle sourit et une mèche lui glissa sur le visage, je lui remit derrière l'oreille en lui caressant la joue. Je la regarda dans les yeux, laissant glisser ma main le long de son visage puis de son cou.

-Tu es vraiment la plus belle jeune femme que j'ai croisé de toute ma vie...

Je l'embrassa, laissant glisser ma main le long de son bras, je m’arrêtais dans le creux de ses reins et elle se laissa basculé sur le lit sans aucune résistance. Elle joua avec mes sens en venant caresser ma langue de la sienne. Elle passa ses mains sous mon tee-shirt et je frissonna, ses mains étaient froides. Elle fit alors basculer ce bout de tissus au dessus de ma tête, avant de le laisser retomber au sol. J'étais à cheval sur elle et je sentais ses mains froides parcourir mon torse du bout des doigts.

-Dis-moi …

-Chuut !

Elle déposa ses lèvres sur mon torse et glissa une main dans mes cheveux.

-Mais... Tu peux rester jusqu'à quel heure ?

-J'ai dis à mon père que j'allais dormir chez une amie te tracasse pas...

Mes mains agir alors d'elles même et retirèrent le haut de ma brune dévoilant sa poitrine à peine retenu par un morceau de dentelle communément appelée soutien-gorges. Elle me regardait faire comme si c'était la première fois et m'aida à retirer le bout de dentelle car je dois le dire c'est pas si facile que ça en à l'air. Je la sentais frémir sous mes caresses, je l'embrassa dans le cou et descendu sur ses seins. Elle passa au dessus de moi pour prendre les choses en mains et je ne pus résister, elle me retira mon jean en autant de temps qu'il en faut pour le dire. En dessous de mon boxer je sentais mon sexe se dresser, je me mordis les lèvres. Alors que je tendais les bras pour atteindre son jean elle me tapa les mains et m'embrassa, puis descendis doucement jusqu'au tissu ou elle déposa aussi ses lèvres. Je ne pus retenir un gémissement. Elle allait retirer mon boxer quand je la fis basculer pour reprendre ma place, d'un geste presque animal que je ne me connaissais pas, je lui retira son jeans emmenant l'autre bout de tissus avec. Je laissa glisser mon boxer par terre, elle posa un regard sur moi. Je ressentais son envie autant que la mienne.

-Hm... Mon frère m'a pris mes préservatif...

-Idiot … Dit-elle dans un souffle. Regarde dans ma poche du jean que tu as sauvagement envoyé volé..

Je lui sourit et reviens auprès d'elle quelques minutes après, eh oh jugé pas c'est difficile à retirer comme ouverture facile. Je l'embrassa gentiment sur le coin des lèvres avant de lui soulever les hanches et pénétrer doucement dans son intimité, lui arrachant un gémissement. Je la sentis frémir et me supplier du regard de continuer sur ma lancé. Je commença un va-et-vient suivant le rythme que m'imposait mon corps et le sien. On ne forma bientôt plus qu'un et je laissa mes envies prendre le dessus, quelques gouttes de sueur perlé mon front, mon souffle se faisait de plus en plus rauque. Claudia n'émettait rien d'autre que quelques gémissement et ses doigts s'enfoncer dans la chair de mon dos nus. Je me sentais partir loin et quand j’explosai, je gémis, elle me sourit, je l'embrassa et me retira. Elle venait de me faire perdre mon pucelage et moi j'étais essoufflé. Je regarda le plafond et elle vint se poser tout contre moi, je ne savais pas quoi dire et ne trouva rien d'autre que :

-Waouh !

Son téléphone sonna, elle y répondu, la voix de l'autre côté était grave et avait du mal à mettre deux, trois mots à la suite. Elle raccrocha et sauta du lit, elle ramassa ses affaires et se rhabilla.

-Tu fais quoi ?

-J'dois y allé... Désolé

Je sauta dans mon boxer et mon jean.

-Mais...

Elle déposa furtivement ses lèvres sur les miennes.

-T'as eu se que tu voulais non ?

Elle était déjà arrivais devant la porte et je l'avais suivis.

-Ce que je veux c'est toi …

Elle me coupa.

-C'est ce que je dis, tu as eu se que tu voulais …

Elle disparut alors dans la nuit, je fini ma phrase face au vide.

-... pour toujours...

Je remonté alors dans ma chambre tout en faisant mine de ne pas entendre les bruits qui s'échappait de celle de mon frère.

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